11 nov 2008
Invierno, cálido invierno
Me levanté con la plantas de los pies hinchados como de bolsas de aire se tratase. Flotando sobre la capa de polvo que cubre el suelo y esquivando la ropa que me iba encontrando por el camino. Haciendo eses y sujetando la cabeza para prevenirme de alguna inespera decapitación. Economicé la noche. Rentabilicé en miedos. Invertí en evidencias. Las hazañas cosechadas podrían formar un libro de 5 cm. de costado por lo menos. Abrimos ese valioso documento para recrear escenas a base de autocensura, día sí y otro también. Hasta que nos aburrimos y no nos dirigimos la palabra. Que quede claro que no estamos enfadados (risas).
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1 comentario:
y todo aquello que tan bien creí haber conocido se
volvío radicalmente extraño a mí
hasta el punto de incomprensible.
se me pudrieron los sentimientos entre las manos hasta convertirse en polvo.
y el polvo,,,
le vent l'emportera.
[Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien
Le vent l'emportera
Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain
Le vent les portera
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?
Le vent l'emportera
Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera]
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